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lundi 11 février 2013

15 choses stupides que j'aime




  1. Me laver les dents.
  2. M'habiller au hasard et avoir une tenue pas si horrible que ça.
  3. Me brûler les mains sur une tasse de thé.
  4. Me réveiller soudainement après quelques secondes de sommeil, comme si j'étais tombée dans un puits.
  5. Nettoyer mes lunettes et y voir soudainement plus clair.
  6. Acheter un nouveau carnet, tout beau, tout neuf.
  7. Faire craquer mes doigts.
  8. Faire craquer une allumette.
  9. Réussir quelque chose d'à peu près propre quand je mets du vernis.
  10. Ne pas connaître la fin d'une blague qu'on me raconte.
  11. Sentir un parfum qui rappelle un souvenir, et mettre quelques minutes à retrouver lequel.
  12. Reconnaître qui monte les escaliers grâce au son de leurs pas.
  13. Connaître des petits détails sur les gens.
  14. Démêler des noeuds.
  15. Me rendre compte que mon pied danse tout seul quand j'écoute de la musique.

vendredi 25 janvier 2013

Breakfast at Tiffany's

Holly (Audrey Hepburn) et Paul (George Peppard) dans leur tournée des premières fois.

Breakfast At Tiffany's, c'est le film que j'ai toujours voulu voir mais sans en avoir jamais l'occasion. J'ai finalement réparé ce manque à ma culture il y a quelques semaines et il n'y a qu'une chose à en dire : Je regrette de ne pas l'avoir vu avant.

Je ne sais pas si c'est la grâce d'Audrey, le charme de George, ce thème musical que l'on reconnaît entre mille même sans le savoir ? Ce personnage perdu, mi-femme mi-enfant, cette sauvage aux yeux de chat, cet homme qui ne voit pas le bout, qui est prisonnier d'une vie qu'il ne veut pas vraiment ? Cette rencontre ? Ce chat sans nom ? Ou peut-être l'addition de toutes ces choses. Oui, c'est tout ça qui en fait, définitivement, un de mes films préférés. 

Il date de 1961, soit l'année de naissance de mon papa, c'est vous dire s'il est vieux... Mais il est d'une modernité qui surprend dans les thèmes abordés, entre la fille qui chasse les hommes riches et le gigolo, deux jeunes adultes qui voudraient qu'on prenne encore soin d'eux comme leurs parents auraient du. Deux amoureux perdus, qui s'en vont rêver devant chez Tiffany's...

jeudi 24 janvier 2013

De la fatigue que génère la vie de bureau


J'entends déjà les commentaires... La vie de bureau, fatigante ? Vous passez votre journée les fesses posées sur une chaise, on a vu pire ! 

Comme toujours, les banques d'images saisissent avec une précision frappante la réalité de cette dure situation.  
Je pensais exactement la même chose. Je pensais qu'il s'agissait d'une légende urbaine, d'un mythe, d'une histoire qu'on raconte à ses enfants pour leur faire peur. Et puis j'ai commencé, la semaine passée, un stage en communication. Et je commence doucement à y croire.

Je ne sais pas à quoi c'est dû, exactement, mais je compte bien mener l'enquête. Comment, alors que je passe ma journée à discuter avec mes collègues que j'apprécie, que je fais un boulot qui m'intéresse, que je ne suis pas surchargée de travail et que je ne passe pas non plus mon temps à me tourner les pouces, comment, donc, se fait-il que dès que je rentre chez moi, je me pose et reste les yeux dans le vide, apathique, pendant quelques minutes ? Comment se fait-il que j'ai autant de mal à me relever, à grimper les marches jusqu'à ma chambre, à m'installer dans mon... Non, wait a minute, j'ai pas du tout de mal à me vautrer dans mon lit. 

BREF vous avez saisi le concept, je suis épuisée, je ne peux rien faire de constructif le soir, et l'idée de sortir boire un verre me fait doucement rire. 

Cet article n'a pas de fin car mon investigation ne fait que commencer, je pense à demander des témoignages auprès des collègues stagiaires, pour évaluer si je suis la seule dans cette pauvre condition, ou si c'est un état qui nous touche, pauvres de nous. 

Pas bisous, je suis trop fatiguée.